Tous les cours d’histoire ne sont pas barbants. Et celui de ce soir promet même d’être aussi instructif qu’amusant.
Il porte sur Louise Michel. Oui, LA Louise Michel. Celle de la Commune de Paris (1871). Celle de l’anarchisme et du drapeau noir. Celle du féminisme revendiqué à coups de griffes et de manifs. Celle de l’instruction pour tous et pour le bien de tous. Approchez cette Louise Michel dont en 2020 on peut saluer les engagements, partager les enthousiasmes,
pleurer la déportation.
Il porte sur Louise Michel. Oui, LA Louise Michel. Celle de la Commune de Paris (1871). Celle de l’anarchisme et du drapeau noir. Celle du féminisme revendiqué à coups de griffes et de manifs. Celle de l’instruction pour tous et pour le bien de tous. Approchez cette Louise Michel dont en 2020 on peut saluer les engagements, partager les enthousiasmes,
pleurer la déportation.
«Cabaret Louise» est un show historique donc. Mais avec des slogans qui n’ont pas pris la poussière, de joyeux anachronismes, une chanson de Louise Attaque ou une apparition d’Auguste Thiers en personne. Ça swingue au même rythme que l’institutrice rebelle renverse les vieilles idées.
Venez avec elle taper du pied, lever le poing : ça fait du bien.
Venez avec elle taper du pied, lever le poing : ça fait du bien.