« Le film d’Aurélia, vous le constaterez, présente ce côté poétique légèrement déroutant pour qui imagine la Palestine sous le seul angle revendicatif. Celui-ci n’échappera pas au spectateur attentif au narratif en langues arabe et française accompagnant le film mais les images privilégient la contemplation du désert, et c’est l’univers des bédouins dont il est question.
La musique de Lune rouge sera une découverte et nous faisons confiance à l’expérience de Mauro qui a programmé la partie musicale. »