Rita n’est pas l’enfant de l’amour. Elle a grandi, vu qu’on ne peut pas faire autrement. Le jour où elle a arrêté de craindre sa mère, elle est partie de la maison sans se retourner. En fait, ça n’a retourné personne… Vingt-six années plus tard, elle revient…
C’est dur, ça gifle, les mots cognent, l’humour grince, le texte est bouleversant, cynique et méchamment humain…
© Jean-Yves Neguin