Depuis Nietzsche, on le sait : Dieu est mort. Sauf qu’il persiste un doute. Agrégé de philo (si, si), le comédien Régis Vlachos voudrait bien en discuter avec vous.
Il est vrai que la question du Divin le poursuit depuis son enfance quand, petit diable, on le traînait de force à l’église. Elle l’a rattrapé, adulte, après les attentats commis au nom de Dieu. Elle est ensuite venue roder autour de lui quand il draguait les filles, votait Mitterrand ou écoutait du Michel Sardou. Allez savoir quand l’Être supérieur apparaît… ou quand il a disparu ?
Voilà pourquoi notre ami ne se sent pas si bien, et cela vaut bien une messe. Ou plutôt un spectacle où, accompagné de sa complice Charlotte Zotto (à la guitare et aux réflexions), il s’interroge, s’énerve, s’agite. Et ma foi, Dieu que c’est bon, nous emporte dans son mysticisme drôlement fin.
Il est vrai que la question du Divin le poursuit depuis son enfance quand, petit diable, on le traînait de force à l’église. Elle l’a rattrapé, adulte, après les attentats commis au nom de Dieu. Elle est ensuite venue roder autour de lui quand il draguait les filles, votait Mitterrand ou écoutait du Michel Sardou. Allez savoir quand l’Être supérieur apparaît… ou quand il a disparu ?
Voilà pourquoi notre ami ne se sent pas si bien, et cela vaut bien une messe. Ou plutôt un spectacle où, accompagné de sa complice Charlotte Zotto (à la guitare et aux réflexions), il s’interroge, s’énerve, s’agite. Et ma foi, Dieu que c’est bon, nous emporte dans son mysticisme drôlement fin.